Économie réelle=Écologie
La finance indique qu’elle n’a pas besoin de faire d’écologie quand elle accumule de l’argent. Ainsi elle ne se souciera de l’écologie que si c’est important pour elle. Alors, il est primordial de couper les banques en deux, puis de rendre productive et publique la monnaie.
Le train, c’est un moteur pour des milliers de personnes. Il demande à être aussi favorisé que les routes par une monnaie publique, afin de rendre ridicule le coût de transport, transports favorisant alors les services publics et développant le pays.
Une étude sur le métro new-yorkais sur la gratuité du métro démontrait que le coût des tickets de métro était supérieur aux bénéfices. En effet, les mairies font payer les transports en commun parce qu’elles ne peuvent pas acheter de bus. Encore une fois, la monnaie publique permet de résoudre cela.
Protéger les industries nationales permet d’augmenter les prix des matières premières afin de mieux rémunérer les producteurs. Aussi les classes productrices militent toutes ensemble, puisqu’elles ne sont pas reconnues par la finance préférant le court terme des services. Avec la protection de l’agriculture puis de l’industrie, les prix industriels baissent, puisque l’état-nation a le contrôle sur ses propres industries, optimisées ensuite grâce à leur propre commerce local par le train.
L’humain ne fait que transformer la nature, sauf pour l’énergie, dont nous disposons à profusion avec le thorium. Ainsi les déchets sont réutilisables dans notre économie, y compris les déchets nucléaires. Il existe encore des atomes inutilisés dont les propriétés sont à découvrir.